Pour ceux qui n'auraient pas eut encore le temps de le lire, voici l'article paru dans La Montagne, en date du samedi 30 mars.
Le titre est explicite et met pleinement l'accent sur les dangers qui nous guettent si nous n'agissons pas.
Plus que jamais il faut continuer à donner à votre avis par le biais de l'enquête que vous trouverez sur la page qui lui est dédiée.
http://bocage-bouchure-bourbonnais.blogspot.fr/p/blog-page_26.html
Merci pour votre participation.
Bruno
bonjour Monsieur,
RépondreSupprimerJ'ai lu votre article paru dans la montagne avec attention.
Je suis originaire de Beauce donc quand je vois le mot Beauce je lis.
Je suis fils d'agriculteur pas beauceron( unverre) je préfère voir le paysage de Beauce que celui de Trevol où les haies ne sont pas taillées où vous avez plus l'impression
d'être dans une jachère que dans des prés.
Dans le secteur de Mondoubleau le problème a été pris, je pense dans le bon sens les champ sont été redessinés après le remembrement les haies replantées et taillées à 1,20 m environ
ce qui permet aux petits oiseaux d'avoir des nids, et dans l'avenir d'avoir de la biomasse pour méthaniser en plus du fumier (ex à Arrou).
La transformation de terre d'élevage en production de céréales c'est logique question économique.
Moi qui ai passé ma vie à travailler la viande , je préfère voir du maïs que des moutons ou des bœufs dans les prés (bourbiers) autour de Trevol ou autre.
Pour que la viande soit bonne, l'animal doit vivre dans de bonne conditions c'est à dire ds des prés sains et avoir un abri pour se protéger des intempéries.
Pour cela il faut remembrer, drainer , replanter et tailler, cela coûte cher.
pour vendre de la viande au même prix qu'avant le passage à l'EURO.
Pour faire de la biomasse, dans les terres pauvres de l'Allier on doit pouvoir faire pousser de l’acacia naturellement plutôt que de l'herbe à éléphant en Beauce c'est dommage personne en parle.
Bonne continuation à bientôt.
Jean-Marie LESAGE
16 rue Pasteur
03460 TREVOL
Bonjour M. Lesage,
Supprimermerci pour votre réaction à l'article paru dans la Montagne.
Le débat est ouvert et nous attendons bien sûr d'autres d'autres contributions qui illustreraient un autre point de vue.